On le sait, un bon gestionnaire peut faire toute la différence. Malheureusement, certains adoptent des comportements toxiques qui nuisent à la productivité et au bien-être de leurs équipes. Voici le top 5 des pires types de gestionnaires… qui font lever les yeux au ciel!
L’obsessionnel
Ce gestionnaire ne fait confiance à personne et surveille chaque détail du travail de ses employés. Il est constamment sur le dos de son équipe, agit en micro-gestion, vérifiant et revérifiant tout ce qui est fait. Un peu comme si vous travailliez avec un GPS qui vous indique à chaque virage : « Recalcul en cours… ». Résultat : tout le monde étouffe et les collaborateurs perdent toute autonomie. Un environnement de travail stressant et peu productif.
Le « trop sympa » sans autorité
À l’opposé du micro-gestionnaire, on trouve son pendant voulant être l’ami de tout le monde. Il évite les conflits comme on évite une tempête de neige un matin de janvier, et a du mal à fixer des limites claires. Bien que ses intentions soient bonnes, ce manque de structure peut mener à des abus et à une perte de respect de la part de l’équipe.
Le tyran sans empathie
Ce gestionnaire fixe des objectifs irréalistes sans tenir compte des capacités ou du bien-être de son équipe. Il manque cruellement d’empathie et ne comprend pas pourquoi ses collaborateurs n’atteignent pas les résultats qu’il espère. Cette attitude peut rapidement mener à l’épuisement professionnel et à une forte démotivation.
L’émotif incontrôlable
Véritable baromètre émotionnel, un jour il explose de colère pour une petite erreur, le lendemain il est euphorique sans raison apparente. Son instabilité émotionnelle déstabilise l’équipe, qui ne sait jamais à quoi s’attendre. En ne maîtrisant pas ses émotions, il crée un environnement de travail imprévisible et stressant, où les employés se sentent constamment sur la défensive.
Le « pas moi » déresponsabilisé
« Ah non, c’est pas ma décision, ça vient de plus haut. » On l’aime autant qu’un appel automatisé du service client! Face aux décisions impopulaires, ce gestionnaire se décharge systématiquement sur la direction. En refusant d’assumer ses responsabilités, il perd toute crédibilité auprès de son équipe et se positionne comme un simple exécutant sans pouvoir réel.
Le donneur de leçons condescendant
Ce type de manager aime rappeler à quel point les tâches sont « basiques » et que « même un enfant pourrait le faire ». Cette attitude condescendante est extrêmement démotivante pour les employés, qui se sentent rabaissés et sous-estimés dans leurs compétences.
En conclusion, ces gestionnaires toxiques peuvent vite devenir un cauchemar. À l’inverse, un bon gestionnaire sait prendre des décisions, consacrer du temps à son équipe, et favoriser un environnement de travail positif et stimulant. Une véritable attitude de gestionnaire positif!
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